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| Auteur : A. Stéfano Nombre de pages : 143 |
Londres 1889, William Carson, détective privé, est envoyé par le directeur de la Royal Mail sur la piste de disparitions de fiacres reliant Londres à Brighton. Lors d'un accident sur cette route, quelque part en pleine forêt William découvre un vieux manoir le long d'une ancienne voie pavée qui n'est plus utilisée. Habité par un homme sombre et mystérieux. Aidé par ses nouveaux amis, William percera-t-il les terribles secrets que renferme cette demeure et son étrange occupant? Ce manoir a t-il un lien avec les récentes disparitions?
Merci à l’auteur de sa confiance pour la chronique de son roman.
Nous sommes en compagnie d’un détective, William Carson, qui vient d’être enlevé de ses fonctions à cause de l’enquête sur Jack l’Éventreur. Cela se passe à Londres en XIXe siècle, il va être appelé pour une autre affaire sur des faits étranges.
Je sors plutôt mitigée de ce roman, car le début du roman est plutôt captivant, car nous suivons l’enquête du détective, en plus cela vire au fantastique, mais la fin est plutôt oppressante. Aller sur les pas du diable est un jeu dangereux et c’est ce que William Carson va découvrir au cours de son enquête. La couverture nous montre clairement les couleurs de l’univers : sombre, sinistre.
Je pensais après avoir vu que William a été enlevé de ses fonctions sur l’enquête de Jack l’Éventreur, que ça allait forcément tourner autour de ce tueur. Hors, il n’en ai rien du tout. C’est un sujet en arrière-plan qui fait office de support. Je trouve cela très intéressant de commencer sur ça, car nous voyons à peu près le moment où tout se passe. En plus, cela fait fortement penser à Shelock Holmes, qui d’ailleurs, je n’aime pas tellement. Mais bon, tout est cohérent dans l’histoire et c’est le principal !
L’auteur à mélanger polar, fantastique et occulte. Cela fait un bon mélange, mais le roman est trop court à mon goût. 143 pages pour nous livrer toute l’enquête... On se doute forcément du coupable tout le long, mais on veut absolument savoir pourquoi il fait ça. Donc on tourne les pages toujours pour en découvrir plus.
La plume est légère et on voit que l’auteur s’est pas mal informé sur les évènements et l’époque pour nous livrer ce roman sur un plateau. Les descriptions sont bien faites, on peut facilement s’imaginer y être. Bon j’avoue parfois, il y a quelques répétitions, l’auteur va directement à l’essentiel et j’ai un arrière-goût de trop peu. J’en reviens à dire que 143 pages est vraiment peu.
En bref, j’en sors mitigée, car je trouve ce roman vraiment court pour le contenu. De plus, je n’ai pas aimé la sensation d’être oppressé à certains moments, c’était limite dérangeant même si c’est le principe de base, mais je ne sais pas, je ne me suis pas senti à l’aise aha. Cela montre que l’auteur à réussi à donner un peu « d’horreur ». Cependant, je trouve cela dommage que l’auteur, avec la maîtrise du sujet, nous à livré un livre fin (court). La couverture montre aussi à quoi s’attendre en ouvrant ce roman, mais je ne sais pas, je m’attendais vraiment à autre chose, ai quelque chose de plus... Ro et puis mince, : ») Cela se lit assez vite, donc vous pouvez découvrir l’enquête dérangeante de William Carson.
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